Maximilian Schmitt
Ténor
Maximilian Schmitt a découvert sa passion pour la musique quand il était jeune membre du Regensburger Domspatzen Boys' Choir. Il a étudié avec Roland Hermann et Anke Eggers à l’Université des Arts de Berlin. En 2005 et 2006, il a été membre de l’Ensemble des jeunes de l’Opéra de Bavière à Munich. Durant cette période, il a également fait ses débuts au Salzburger Landertheater dans La Flûte enchantée avant de devenir membre de l’Ensemble du Théâtre national de Mannheim pour quatre ans.
Grand spécialiste de Mozart, ses performances l’ont mené au Perugia, au Concertgebouw d’Amsterdam ou au BOZAR à Bruxelles. Un disque de ses projets à entre-temps été édité par Harmonia Mundi.
Il a été invité par de nombreux chefs tels que Franz Welser-Möst, Andrew Manze, Daniel Harding, Thomas Hengelbrock, Fabio Luisi mais également par de nombreux orchestres tels que l’Akademie für Alte Musik Berlin, le Tonhalle-Orchestra Zurich, le Bavarian Radio Symphony Orchestra, le WDR Symphony Orchestra, le Vienna Symphony, le Cleveland Orchestra, le Swedish Radio Symphony Orchestra et le Gewandhaus Orchestra Leipzig. Il est également l’invité régulier des orchestres parisiens. Il a eu l’honneur de se produire avec Claudio Abbado au Festival de Lucerne et à l’Académie Sainte-Cécile de Rome. Une collaboration étroite le lie régulièrement à Philippe Herreweghe.
Au début de la saison 15-16, il était invité au Festival de Zermatt pour donner Le Chant de la Terre de Mahler. Ses principales performances incluaient notamment ses débuts à Strasbourg, Mulhouse et Colmar sous la direction de Hervé Niquet, des débuts à l’Opéra de Vienne et des concerts avec l’Orchestre de Paris.
Maximilian Schmitt a fait ses débuts au Wigmore Hall de Londres avec Justus Zeyen, salle dans laquelle il s’est également produit avec Gerold Huber en janvier dernier. On a pu entendre le duo aux Badenweiler Musiktage dans les Voyages d’hiver de Schubert. Les enregistrements de Lieder de Gerold Huber et Maximilian Schmitt sont édités par Oehms classics : après un premier disque autour de Robert and Clara Schumann, le suivant était consacré à La Belle meunière de Schubert et accueilli avec enthousiasme aux Schubertiades de Schwarzenberg.